jeudi 20 janvier 2011

Ein Kuss ohne Schnurrbart ist wie Suppe ohne Salz


elle disait:
"Tu te tiens à distance, tu es érotique et tu détestes le monde."


Oui, le port du bijoux m'a séduit.
Je n'y suis point.
J'y arrive, la tombée est séductrice, offre des possibilités de mordre. La beauté me submerge toujours autant, le jour et la nuit, surtout la nuit (elle ment, la nuit, c'est du Prozac avec de l'alcool, la nuit c'est la prohibition tacite qui rend tout très excitant). Une pression demande à mes jambes d'être plus performantes que d'ordinaire, une pression inconnue et anonyme à fait de mon corps un légume tonique. J'y vais pas, un seul corps est à l'origine du tout, du néant, des combles et des limbes. C'est d'écrire sur la peau, d'illustrer le récit d'images, qui me donne l'envie de continuer, rien d'autre, rien de plus.
C'est par voie orale, c'est sa bouche qui m'appelle, c'est juste la flamme que je n'arrive pas à altérer. C'est le corps que j'envisage.